François Roustang : la position du thérapeute
« La position thérapeutique, c’est ce autour de quoi s’organise la rencontre ; elle définit l’édification du système de relations entre le thérapeute et le thérapisant. » « En prenant sa […]
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« La position thérapeutique, c’est ce autour de quoi s’organise la rencontre ; elle définit l’édification du système de relations entre le thérapeute et le thérapisant. » « En prenant sa […]
Nous aspirons tous à la reconnaissance, mais ce mot de reconnaissance est galvaudé, il a perdu un peu de son épaisseur, à force d’être utilisé à tort et à travers. […]
Introduction au colloque 2009 du Ceccof, par Nicole Prieur
Il y a une certaine logique à faire coïncider ce thème et le trentième anniversaire du Ceccof : en 30 ans nous avons connu des bouleversements profonds et irréversibles qui nous touchent aussi bien en tant qu’individu, dans nos couples et nos familles, mais aussi dans notre pratique.
Albin Michel, 2009
co-écrit avec Violaine Godart – colloque « L’enfant et la médiation familiale » – Paris, juin 2009.
En comparant nos deux approches, nous tentons de mettre en évidence les différences et les éventuels points communs de la médiation et de la thérapie d’enfant.
co-écrit avec B. Prieur in « Thérapie Familiale » – Genève, 2008.
Pourquoi une double prise en charge ?
De nombreuses situations thérapeutiques nous mettent face aux limites de nos approches respectives. Par exemple, un thérapeute individuel estimera que le travail de son patient – adulte ou enfant – devrait être complété, ou poursuivi par une thérapie familiale ou de couple. De son côté, un thérapeute familial peut être amené à envoyer un membre de la famille en thérapie individuelle. Plusieurs modèles de doubles prises en charges thérapeutiques existent.
Article paru dans « Cahiers critiques de thérapie familiale » N° 38 (2007).
Notre pratique nous met face à de nouvelles formes de filiation et de parenté. Le concept d’origine peut être un outil thérapeutique judicieux, à partir du moment où on pose l’originaire comme un processus mobile, sans cesse à recréer.
Article publié dans « Recherches et succès cliniques de l’hypnose contemporaine », sous la direction de C. Virot (Le Souffle d’or, 2007).
Voici une thérapie d’enfant menée, il y a quelques années et dont les difficultés m’ont permis de réfléchir à l’hypnose du thérapeute et sa fonction dans la construction du système thérapeutique clinicien-enfant.
co-écrit avec Bernard Prieur paru dans « Cahiers critiques de thérapie familiale » N°38. « De génération en génération, quelle transmission ? » en 2007.
Cela fait plusieurs années que ce thème nous interroge. Présentes dans de nombreuses thérapies, les trahisons n’épargnent aucun lien. On se trahit entre amis, en famille, en couple, on se trahit soi-même.
extrait de mon livre « Raconte-moi d’où je viens ».
« Vous avez semé un enfant, vous récoltez une bombe » disait Winnicott aux parents d’adolescents. En effet, bien des pères et des mères déplorent de ne plus retrouver chez leur adolescent leur tendre chérubin. Révoltés, malheureux, ils nous entraînent inévitablement dans leurs profondes contradictions.