les articles et tribunes parus dans la presse autour de mon travail

Comment gérer l’épargne de ses enfants ?

Le Figaro Magazine, 21 avril 2023

Epargne_enfants_FigMag_210423

Entretien avec la revue Chemins

Chemins, Mars-mai 2023

Chemins_Mars_mai_2023

Hériter sans se fâcher avec sa fratrie

Le Figaro, 27 mars 2023

Heriter_Figaro_270323

Nicole Prieur, thérapeute familiale : « Il faut oser parler d’argent dans le couple »

article paru dans Le Monde, 14 mars 2023

Pour la philosophe, spécialiste de la question de l’argent dans les couples et les familles, les femmes ont acquis une indépendance économique mais peinent à s’émanciper lorsqu’il s’agit de gérer leur argent. La solution : en discuter à deux.

Nicole Prieur est philosophe et thérapeute familiale, spécialiste de la question de l’argent dans les couples et les familles. Elle a publié La Famille, l’argent, l’amour, avec Bernard Prieur (Albin Michel, 2016).

Les femmes et les hommes ont-ils le même rapport à l’argent ?

Absolument pas. Le rapport à l’argent est excessivement genré. Dans le partage traditionnel des tâches, la gestion de l’argent, des placements et du patrimoine reste l’apanage des hommes. Ce n’est pas une question de compétences ou de connaissances financières, mais plutôt de légitimité.

Dans l’inconscient collectif, les femmes ne se considèrent pas comme légitimes sur les questions financières. Elles ont acquis une indépendance économique, elles gagnent leur vie, mais, concernant la gestion des finances, il reste encore du chemin à faire vers l’émancipation.

Lire la suite sur lemonde.fr

Vous vous occupez d’un proche dépendant ? N’hésitez pas à demander de l’aide

Notre Temps, 12/01/2023

Même si la démarche paraît souvent difficile, les aidants doivent savoir demander de l’aide avant de s’épuiser dans le soutien d’un proche qui a perdu son autonomie.

Près d’un conjoint sur deux d’une personne atteinte de Parkinson ou d’Alzheimer meurt le premier tant l’accompagnement quotidien est lourd. Beaucoup de sentiments et d’émotions empêchent le proche de demander un soutien extérieur. Or, savoir se ménager, c’est essentiel pour soi, mais c’est aussi se donner plus de chance d’apporter longtemps une aide de qualité à son parent ou son conjoint.

Des freins à lever

« Ma relation avec mon père a toujours été compliquée, explique Jackie, 64 ans. Maintenant que le grand âge le prive de son autonomie, je suis très présente auprès de lui pour l’aider mais aussi pour retisser un lien meilleur. Je mets un point d’honneur à le prendre en charge seule. » Dans l’engagement auprès du parent, du conjoint, de la sœur ou du frère dépendant, de nombreuses motivations entrent en jeu, comme le relève Nicole Prieur, psychothérapeute et autrice des Trahisons nécessaires (Robert Laffont): « Une trop grande bonne volonté, l’espoir d’obtenir une reconnaissance jamais obtenue ou de préserver une place privilégiée, le désir d’atténuer une culpabilité ou de se sentir fort auprès d’un mari ou d’un parent qui a longtemps été autoritaire incitent à ne pas demander d’aide extérieure », liste-t-elle. Dans le couple, donner une place à un tiers dans le logement et auprès du conjoint apparaît parfois comme inenvisageable. « Admettre la présence d’une autre personne renvoie à sa propre impuissance, aux limites de ses interventions et actions », souligne Nicole Prieur.

S’autoriser à recevoir de l’aide pour penser la future séparation

Prendre conscience de motivations souterraines permet d’avoir un regard plus lucide sur son action auprès de son proche dépendant. « Il est important de ne pas s’oublier soi-même et de prendre en compte ses propres besoins, poursuit la psychothérapeute. Il faut mesurer à quoi il est possible de renoncer pour respecter l’autre, mais aussi ce à quoi il ne faut pas renoncer pour se respecter soi-même.

Accepter ses limites et ses fragilités permet d’accepter le réel. » Certains conjoints et enfants s’emploient à « sauver » le parent dépendant dans un tête-à-tête qui devient un piège pour les deux – celui qui donne sans compter et celui qui s’en trouve redevable. « S’autoriser à recevoir l’aide de tiers permet de commencer à penser la séparation, de se préparer à la perte, précise Nicole Prieur. C’est aussi le moment de s’alléger d’éventuels contentieux, de faire le deuil de ce que l’on n’a jamais reçu de l’autre. » Le soutien apporté par l’aide à domicile se concentrera sur les soins, laissant au proche ce que lui seul peut donner au parent ou conjoint, des paroles et des gestes qui disent l’affection et les années de vie commune.

Acceptons d’être des parents imparfaits

Psychologies Magazine, hors-série décembre 2022-janvier 2023

Psychologies_dec22-jan23

Anticiper la transmission de son patrimoine

guide Allianz, décembre 2022

ce dossier de 40 pages, proposé par Allianz est très complet avec des analyses, informations, conseils, sur le plan fiscal, juridique et psychologique, à consulter !

guide_allianz

S’occuper de ses parents sans mettre son couple en péril

Notre Temps, novembre 2022

NotreTemps101022