Milton Erickson : l’hypnose
Quand Paul Cézanne peint la Sainte Victoire, voici ce qu’il éprouve. « Je respire la virginité du monde. Un sens aigu des couleurs s’empare de moi. Je me sens coloré par tous les tons de l’infini. Dans des moments comme celui-là, je ne fais qu’un avec mon tableau. Nous sommes un chaos iridescent.»
Cela pourrait être une des plus belles définitions de l’hypnose.